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jeudi 30 juillet 2009

Les passages de la vie




En lisant le blog d'une jeune fille qui bientôt va avoir 24 ans, ceci m'a fais penser à un article que j'ai déjà lu et que je trouve super intéressant à partager. en voici un petit résumé

Chaque âge révèle ses inspirations et ses plaisirs inattendus

L'ÂGE DE L'EXPLORATION
20 ans

Si la vingtaine est l'âge de l'exploration, des essais et des erreurs, nos valeurs et notre façon de voir la vie changent aussi, chaque nouvelle étape est précédée d’une prise de conscience, nous ne sommes pas les mêmes à 30, 40 et 50 ans, la transformation n’est pas que physique.

L’ÂGE DES TUMULTES
30 ans

Au début de la trentaine, en général, on est engagée dans une relation de couple, on commence à s’enraciner, on a un job qui nous conviens.

Au travail, on performe, on veut faire sa place et on ne ménage ni son temps ni ses forces, on est remplie d’énergie.

C’est dans la trentaine que l'on fonde une famille, achète sa première maison, on commence à accumuler les dettes.

Pour la femme s’ajoute la question des enfants, elles devront choisir entre freiner leur carrière pour se rendre plus disponible et tout mener de front, quitte à s’épuiser.

À la fin de la trentaine, on est essoufflé, on n’arrive pas à tout concilier, on a besoin d’aide, arrivent la fatigue, les premier bobos qui annoncent parfois un épuisement professionnel.

Ceux qui sont malheureux dans leur travail ont alors beaucoup de problèmes de santé qui finissent souvent en « ITE » comme des tendinites, des bronchites, des pharyngites etc.

On n’est plus invulnérable et le corps le fait savoir, non seulement le travail prend beaucoup de place, mais en plus, il y a le travail domestique et les problèmes conjugaux apparaissent.

C’est aussi quand s’achève la trentaine que se pose la question à $1000 :
Coudon, ai-je fait tous ces efforts pour en arriver à ça ?

L’ÂGE DES DOUTES
40 ans

Entre 40 et 45 ans, on vit la transition du milieu de la vie, comme une deuxième crise d’adolescence qui mène à un second âge adulte : l’âge mûr, de 45 à 60 ans.

D’une part, on récolte ce qu’on a semé, il y en a qui on eu des enfants, comme ils sont maintenant plus grand, on a plus de liberté, on a investi dans sa carrière.

Les premiers signes de l’âge apparaissent, on se fait appeler de plus en plus souvent appeler « Madame » « Monsieur », on n’arrive pas à comprendre comment on a pu se blesser un tendon en voulant battre son adversaire au tennis et si on résiste à l’idée de porter des lunettes, on doit se munir d’une loupe pour lire les petits caractères.

La quarantaine c’est aussi l’âge des premiers doutes; les choses en lesquelles on croyait dur comme fer paraissent tout à coup moins sûres, des ami(e)s ou des membres de la famille éprouvent des problèmes de santé, on commence à comprendre que l’on n’est pas éternelle.

C’est l’âge du premier regard en arrière, on repense à ses 20 ans et on se demande si on a fait les bons choix.

Et puis c’est le temps ou jamais de faire des enfants, même ceux qui n’en voulaient pas ce posent de nouveau la question et découvrent parfois qu’ils ou elles ont changé d’idée.

C’est aussi le moment ou bien des couples montrent des signes de fatigue, les tensions accumulées dans la trentaine peuvent dégénérer et c’est le couple qui en écope.

On constate qu’il reste encore 20 ou 25 ans à travailler, peut-^tre plus, on se demande : je change de job ou je reste là ?

Si à 30 ans on luttait pour faire sa place, à 40 ans, on veut se réapproprier tous les aspects de sa personnalité négligés pendant la course au succès.

Parfois ce sont des qualités de leader, parfois c’est la créativité ou un désir d’entrer en contact avec des gens, certains vont changer de carrières mais la plupart vont plutôt modifier leur trajectoire, tout en gardant la même identité professionnelle.

Intellectuellement, on est au sommet de sa forme, même si la mémoire commence à jouer des tours, on comprend plus de chose à 40ans qu’à 20.

L’intelligence évolue, on met les événements en contexte quand on vieillit, à 20 ans, pour chaque problème, il y a une solution, à 40 ans, on découvre qu’il y a en plusieurs ! on a une vue d’ensemble qu’on ne peut pas avoir avant.

L’ÂGE DE LA CRÉATIVITÉ
50 ans

À 50 ans, on comprend que la petite crème à $50 qui promet des miracles n’en fera plus, c’est l’âge ou l’on cesse d’arracher ses cheveux gris par crainte de se retrouver chauve !

On se sent gonflé et de mauvaise humeur, hélas ! on a peu de temps pour pleurer sur ses rides, car on est mise en présence de quelque chose de plus grave : la fin de l’existence : À cet âge, rare sont ceux ou celles qui n’ont pas perdu un parent ou un ami, la mort n’est plus quelque chose de lointain et pour la première fois, on sais que le temps est compté.

Entre 50 et 60 ans, on se rend compte que ses forces physiques diminuent, on s’entraine, surveille leur alimentation, se sent bien dans leur peau.

LA VIEILLESSE
Et après ?

Surprise, il y aurait une vie après la cinquantaine, la vieillesse n’est pas obligatoirement une dégringolade, il est possible de réaliser ses rêves mais pour cela il faut accepter de faire face à ce changement.

mardi 14 juillet 2009

Je n'ai plus une seconde à perdre

Je suis présentement rendu à une étape de ma vie ou je n'ai plus vraiment envie de perdre mon temps, lorsque que je fais face à ma propre moralité, je revois tout à coup mes priorités :

Ma santé, ma familles, mes vrai ami(e)s et ma carrière, j'ai découvert l'importance de cette fragilité, rien n'est vraiment acquis dans la vie.

Bien gérer son temps n'est pas de faire le plus possible de choses, pour moi bien gérer mon temps, c'est de bien faire les vraies choses, de faire place à mes valeurs.

Maintenant c'est du temps de qualité auquel je fais place dans ma vie, personne n'est à l'abri de la maladie, d'un décès d'une être cher, d'une séparation / divorce, d'une chicane d'amitié / frère ou soeur / parents etc.
Je sais que la vie est vraiment fragile, il est important pour moi d'essayer de la savourer pleinement avec des gens qui m'apprécie tel que je suis.

Je suis une personne qui aime rire et un professionnel sérieux qui ne se prend pas vraiment au sérieux, mon but est de bien profiter de ce qui me reste de vie, vivre une journée à la fois sans penser à demain, apprécier les petits gestes quotidiens de la vie en compagnie des gens qui comptent le plus pour moi.

Merci à ma famille et mes vrai ami(es) d'être sur ma route et de faire partie de ma vie, je vous aiment.